- Comprendre que le temps de séchage est lié aux conditions ambiantes, comme nous l’avons dit
plus haut, mais aussi au taux de colorant que nécessite la teinte : un orange vif ou un rouge
sécheront bien moins vite qu’un blanc cassé.
- Les tons vifs ou foncés étant par nature moins opacifiants que les pastel, il ne faut pas hésiter à
faire ce que les professionnels appellent une « fausse teinte » avec le primaire : cela consiste
à approcher la teinte du primaire de la teinte finale souhaitée. On évite souvent dans ce cas
une troisième couche de finition.
- Les petits défauts d’aspect (reprise), souvent liés à un matériel inadéquat ou à un
manque d’expérience, sont évités si l’on choisit une finition mate. Si l’on tient à une finition satinée,
la station peinture est souveraine et garantit un résultat impeccable.
- Le dernier coup de rouleau doit toujours être donné dans le même sens, théoriquement de bas en
haut (mais de haut en bas n’est pas une hérésie)
- Quand vous choisissez votre teinte chez le distributeur, gardez présent à l’esprit que, sur une
grande surface, elle semblera plus foncée : l’œil humain est ainsi, ni vous ni nous n’y pouvons rien.
- Vérifier la justesse de la teinte avant d’appliquer le produit est de votre responsabilité : le
distributeur ne pourrait être tenu pour responsable si le produit est appliqué.
En revanche, si vous constatez une erreur avant l’application, il procédera bien évidemment
au remplacement.
- Pour vérifier la teinte, sachez que les peintures naturelles foncent en séchant : il faut donc, pour
la contrôler rapidement, en appliquer un peu sur un bout de carton que l’on sèchera en accéléré avec
un sèche-cheveux.
